vendredi 29 août 2014

L'Homme

Je fais des cauchemars... Je fais beaucoup de cauchemars... Beaucoup trop, trois à quatre chaque nuit.  
J'essaye de les noter dans un carnet posé sur ma table de chevet, ça fait maintenant un mois que j'emmagasine les récits de mes nuits agitées ou les simples bribes encore dans ma mémoire. 
Mes nuits se passent toujours de la même façon, je vais me coucher, je me réveille avec le coeur battant vers deux ou trois heures du matin, j'ouvre mon carnet, j'écris ce dont je me souviens, puis je me rendors. Je me réveille en sursaut à 4h09, j'ouvre mon livre, j'écris, je me rendors. Pour finir je me réveille tétanisé à 6h34, j'ouvre mon journal lentement, j'écris encore en tremblant, et soit je continue le supplice encore une fois, soit je me lève.  
Je n'ouvre jamais mon carnet en journée. En fait je ne l'ai jamais ouvert, sauf pour noter mes terreurs nocturnes. J'ai peur de me souvenir. 

Je vois un psychologue depuis quelques mois, il m'encourage à l'ouvrir, à lire, à affronter et vaincre mes peurs. Il dit que mes cauchemars s'arrêteront peut-être si je ne les refoule pas. C'était déjà lui qui m’avait encouragé à acheter le carnet. Si j'écris ces lignes c’est parce que ce soir je vais le faire, ce soir je ne vais pas dormir, je vais lire et réécrire sur ces feuilles ces rêves qui me hantent... Quand j'aurai fini, j'écrirai mon ressenti. 



Je n'ai pas fini de lire mes cauchemars... En réalité, je n'en ai lus que trois, mais une personne apparaît dans ces trois cauchemars. Au cours d'une même nuit, j'ai rêvé trois fois de la même personne. Ce serait un homme, plutôt petit et un peu gros, un sourire au coin des lèvres, il me fixerait peu importe la situation... Ça commence déjà à être dérangeant... Je continue. 

Voici des extraits : 

N°7 
Ma sœur se trouve, le crâne rasé, dans une salle de bain. Son corps nu est recouvert des cheveux qu'elle vient de raser. Elle me fixe, elle me répète que c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin, c'est la fin.  
Elle regarde par-dessus mon épaule, elle se fige, je me retourne. L'Homme me dit que je ne pourrai pas sauver les gens que j'aime. 

N°10 
Je suis devant un miroir, mon reflet me sourit alors que je ne souris pas. Il se met à rire, de plus en plus fort. Il hurle de rire. Son rire résonne dans mon crâne. Il frappe à l'intérieur du miroir. Je cligne des yeux. 
Je me retrouve dans le miroir. Il me demande, en continuant de rire : « Qu'est-ce que ça fait d'être le reflet de soi-même ? » 
Deuxième battement de cils. C’est maintenant l'Homme qui se tient face à moi. Il sourit. Je lui dis : « Qu'est-ce que ça fait de ne pas être réel ? 
-Je suis là, non ? Comment puis-je être plus réel ? » 


N°11 
Une pièce sombre. Je ne vois rien. Mes parents sont éclairés au loin. L'obscurité m'oppresse, mon coeur me fait mal, ils me regardent avec pitié. Je suis moi, enfant. J'ai peur. Mes parents partent, j'essaye de les suivre mais mes bras sont retenus. Je me débats, je ne les vois plus, ils sont partis. Une main rassurante se pose sur mon épaule, c’est l'Homme... Papa... Maman... Vous ne m'aimez pas... ? 


J'ai prêté mon carnet à mon psychologue. Je n'ai pas dépassé le onzième "souvenir"... Il m'a dit que c'était déjà une progression, que je suis perturbé par quelqu'un et que mes rêves sont sans doute ce que je rejette, une vérité glacée qu'il faut que je brise. 
J'ai hurlé en plein milieu de la séance. Je me rappelle de chaque mot que j'ai hurlé comme si je les avais appris par coeur : « Docteur ! Docteur ! Docteur ! Arrêtez vos phrases qui n'ont aucun sens ! Comprenez-moi ! Aidez-moi ! Sauvez-moi. Ou achevez-moi... » Il m'a dit de me reposer. J'ai peur... 


J'ai peur... J'ai peur de fermer les yeux, de les ouvrir. J'ai peur d'être fatigué, de dormir. J'ai peur de le voir encore. « L'Homme », voilà comment il s'est présenté à moi... 
Je ne sais plus quand il l'a fait... L'a-t'il seulement fait ? Il me l'aurait dit avant que j'écrive mes cauchemars ? Après ? Il me l'a dit en rêve ? L'ai-je vu avant que mes nuits deviennent abominables ? Il faut que je dorme... Mon dieu, ayez pitié... 


Toujours le même rituel nocturne, je ne me souviens toujours de rien, je tourne en rond... Tout ce qu'il y a autour de moi me protège. Chaque meuble, chaque regard, chaque sensation me rappellent que je ne dors plus. Je suis réveillé, je suis réveillé... Il n'est pas là. 
J'ai décidé d'arrêter de lire mes anciens « rêves », je vais juste lire ceux que j’ai écrit la veille. J'ai la sensation que ça sera plus utile. 




N° 34 
Il y avait un bloc de marbre, je crois. L'Homme taillait quelque chose dedans, un travail qui demanda du temps. Il me laissa voir son oeuvre : un homme avec une capuche qui avait l'air d’avancer avec crainte. Il me regarda d'un air surpris. Il m'a demandé si je me souvenais. Non. Non, je ne m'en souviens pas, mais je lui ai répondu « Ça arrive. » 

N°35 
J'étais devant les corps démembrés de mon père et de ma sœur, dans cette voiture accidentée que j'allais faire brûler. Tout était prémédité. Une ballade, un virage trop serré, puis le fossé. 
Le meurtre de ma sœur, un tournevis dans la trachée lui avait suffi.  
La torture du père, puis la dissection, et enfin le bûcher.  
Et je les regardais brûler, brûler sans rien ressentir, sans rien dire, sans rien penser. Je porte un masque. Je me vois de l'extérieur, c'est le visage de l'Homme. 


Je m'arrête au n°35... Le dernier sera pire que les autres, je n'ai plus la force de subir ça... Je suis en larmes. QU'EST-CE QUE C'EST ? CET « HOMME » ? Pourquoi ? Pourquoi je dois subir ça ? Je n'en peux plus... Je m'en vais. 
En me levant j'ai eu un flash, un cauchemar... Peut-être est-il dans le carnet mais... J'ai un mal de crâne horrible. Voilà ce dont je me souviens : 

N°? 
J'étais de nouveau enfant. Mes parents, paniqués, voulaient me mettre un pyjama avant de sortir de la maison pour nous cacher dans une cave. Une immense tornade, comme l'on en voit que dans les films, fonçait droit sur nous, lentement, irrémédiablement. Hypnotique, elle avançait, et je refusais de m'habiller, absorbé par sa sinistre fureur. Elle avala la maison d'en face dans un vacarme assourdissant. Mes parents hurlaient, mais plus rien ne comptait. La tornade arrivait, doucement, avec une puissance terrifiante. La sensation du verre de la fenêtre qui se brise s'est fait ressentir, puis plus rien. 
Le temps était soudainement comme arrêté. Quelqu'un me tendait la main... Il a dit qu'il était L'Homme qui pouvait me sortir de là... Je pris sa main. Il me ramena à lui... Il m'embrassa, il me lécha doucement le cou. J'étais paralysé. Il me murmura que tout allait changer pour moi, il commença à glisser sa main dans mon pantalon, je le regardais horrifié. Le temps redémarra, la tornade nous broya. 


Je... Comment je peux m'en rappeler de façon aussi précise... Je reste de longues minutes à fixer cette feuille... Mon dieu, mais qu'est-ce que c'était que ça... 


Je prends une valise au hasard, je mets des affaires à la va-vite dedans. Je dois partir d'ici, je me sens épié, je me sens en danger... J'ai l'impression d'avoir été violé depuis que je l'ai écrit. Je deviens complètement fou et ignoble ou bien est-ce vraiment arrivé ? Je deviens fou ? Je deviens fou. Je deviens fou ! Je suis fou ? 


J'ai roulé sans m'arrêter pendant des heures, je suis bloqué sur une aire d'autoroute, sans essence, alors j'écris en attendant le réparateur. Je pense juste que ces cauchemars m'ont abîmé l'esprit, j'ai besoin de vacances. Si on me demandait pourquoi je suis parti comme ça de chez moi, ou bien pourquoi je roule dans une direction sans m'arrêter depuis des heures et sans avoir pensé à prendre de l’essence ; je répondrais que je ne sais pas, mais que je ne dois pas rester. J'ai envie de partir mais je regrette d'être parti... Le réparateur ne va pas tarder. Il est temps, il fait presque nuit. 


Je me suis endormi, où est mon carnet ?... Tant pis. 



N°37 
Je suis dans un cimetière. Il fait noir, je suis angoissé, il n'y a pas un bruit. J'ai les mains pleines de sang et j'ai une pelle près de moi. Je me mets à creuser dans une tombe, et un squelette animé sort de la sépulture. Il se met à me mordre et à arracher ma chair avec le peu de dents qu'il lui reste. Je ne peux pas bouger, je ne peux que ressentir la douleur de la chair qu'il arrache. Puis je vois mes parents arriver au loin dans leur voiture, et je crie, mais ils ne se pressent pas trop. Au fur et à mesure que le squelette me mange, il se transforme peu à peu en moi-même, et moi en squelette. Il me pousse dans la tombe, et il la referme. Puis mes parents arrivent, et le squelette part avec eux. Papa, maman... POURQUOI ?! L'Homme tend la main vers la tombe, il me dit que le choix est déjà fait. 

Il est 2h34, il n'arrivera pas ce soir. Je vais « dormir » dans ma voiture. Je ne trouve plus ce foutu carnet ! 

N°38 
L'Homme descend dans une cave, un enfant et sa mère sont enchaînés. Je suis comme invisible dans un coin de la pièce. Il sourit à la mère, il se met à la frapper, encore, et encore, et encore, jusqu'à ce qu'elle soit inerte à terre. Il lui enlève le peu d'habits qu'elle avait et demande à l'enfant de la regarder. Il ne la regarde pas, l'Homme insiste, le gamin regarde par terre, l'Homme laisse la femme avec l'arcade sourcilière ouverte, le visage boursouflé et des côtes fêlées. 
Le petit de huit ans vient de lever la tête, il fixe l'Homme, qui fait de même. L'Homme prend la tête de l'enfant et il la frappe contre le mur. Il déshabille ensuite l'enfant, il baisse sa braguette et... Il sourit. Je viens de fermer les yeux, je me bouche les oreilles autant que je le peux. L'enfant hurle, la mère supplie d'être prise à la place de son fils. Puis... le silence. 
Je rouvre les yeux, la salle est vide, il ne reste que du sang séché, il me fixe. « Tu sais ce qu'il t'attend maintenant », dit-il avec des sanglots dans la voix. Il me saute à la gorge, il essaye de m'étrangler. « Mais ton choix est déjà fait, n'est-ce pas !? » 


Je ne veux plus dormir, je ne peux plus dormir... J'en peux plus, je craque. Ceci est donc une très longue lettre d’adieu. Ces rêves m'ont tué, ces rêves m'ont... Non, l'Homme. L'Homme de mes rêves. L'Homme dans ma tête m'a tué. J'ai un pistolet dans ma valise... Le voilà, mon choix ! Mon choix est fait, ça te va ?! 


Une voiture klaxonne derrière, quelqu'un sort de la voiture et s'approche de ma fenêtre : 
« Ça va aller ? Qu'est-ce que vous faites ici ? »  
Je lui ai expliqué mon trajet et le fait que j’attendais une dépanneuse.  
« Vous allez où ? Je peux vous déposer. »  

Peu importe où... Un endroit calme où je pourrai enfin dormir pour l'éternité, une balle de plomb sera mon somnifère. Je prends ma valise, mon pistolet est dans ma poche, je me sens mal à l'aise, j'ai l'impression de l'avoir déjà vu... 
Il tend la main vers ma valise, il est éclairé par les phares de sa voiture, c'est un homme petit et un peu gros : « Votre choix est fait ? » Où avais-je entendu ça ? Où l'avais-je déjà vu ? Je ne sais plus... Mais je sais que si je pars avec lui, je serais témoin d’un spectacle que je ne veux pas voir... 
Je me suis jeté sur lui et je lui ai défoncé le crâne avec la crosse du pistolet... Il est mort ? Il est mort. Il est mort ! Je l'ai tué. J'ai le sentiment d'avoir sauvé des dizaines de personnes. Je vais bien dormir ce soir. Je mets ma capuche et j'avance avec crainte
Ceci n'est donc pas une lettre d'adieu, mais un aveu : J'ai tué un monstre et j'ai adoré ça.


Texte par Sunyx, dit Smile.

mardi 24 juin 2014

Creepasta #5 : Nightcall

Il y avait une radio très populaire en 2006, des millions d'auditeurs sûrement. La journée, cette radio diffusait de la musique, rien de plus banal. Mais le soir, c'était tout autre chose. 6 animateurs dans une émission nommée Nightcall.

Le principe était simple : des personnes appelaient pour des problèmes paranormaux et les animateurs tentaient de résoudre le problème avec les auditeurs. Ça avait un succès fou. Des gens qui appelaient car leurs chien fixaient un mur anormalement, des bruits de pas dans une pièce vide, il y avait de tout.

Mais un soir, le 23 Novembre 2006, une femme appela, affolée. Elle venait non pas raconter un événement passé mais un événement qui était en train de se produire. Elle entendait des voix, des pas autour d'elle, des ombres qui apparaissaient dans les quatre coins de sa maison.

Elle semblait perdre le contrôle d'elle même, elle pleurait. Au début, les animateurs pensaient à un fake, mais au fil du temps, cela se voyait, elle était vraiment effrayée. Puis, au bout de trente minute passées à essayer de la calmer, elle prononça des phrases dans une langue qui semblait être inconnue.

Personne, même les auditeurs ne savaient de quoi il s'agissait. Elle répétait les mêmes phrases en boucles. Puis quelqu'un qui écoutait l'émission, un chercheur de l'Égypte ancienne affirma qu'il s'agissait probablement du Mésopotamien, une, si ce n'est la première langue du monde.

Elle semblait... possédée. C'était exactement le mot. Puis elle hurla de douleur, subitement. Un cri glaçant, à percer les tympans. Puis l'appel s'interrompit. Il était 4 heures du matin, l'heure où Nightcall s'arrêtait. Le jour suivant, on n'entendait plus parler de l'appel, comme si il n'avait jamais existé.

Mais, le jour de Noël, 1 mois plus tard. Les animateurs parlèrent enfin de l'appel. Ils avaient passés des mois à essayer de le localiser. Ils y étaient enfin arrivés. Ils se rendirent à la rue exacte, le numéro exacte. Ils arrivèrent sur une place vide.

Seul un panneau en bois, rongé par la moisissure trônait sur l'herbe verte.

"A la mémoire d'Elisabeth Wilson morte en 2005"

Puis les souvenirs remontèrent et ils se rappelèrent du nom de l'auditrice... Elisabeth... Wilson. Mais ils s'étaient forcément trompés puisqu'on étaient en 2006. Pourtant tout coïncidait, la pierre tombale, les archives... Alors on n'entendit plus jamais parler de Nightcall, l'émission s'était brutalement interrompu le 23 Novembre 2007. Le jour et à l'heure exacte où Elisabeth Wilson avait appelée.

vendredi 6 juin 2014

Creepypasta #4 : Splenderman est notre maître à tous



Ça c'est passé en 2014, le 4 ou 5 Juin, je sais plus, j'ai plus la tête à ça de toute façon. On avait 12 ans, Anissa et moi. Y'avait une autre fille qu'on aimait pas trop... enfin vraiment pas. Et puis on a découvert les sites glauques, ce genre de sites qui vous glacent le sang, qui vous rendent mal à l'aise.

On a "surfées" sur d'innombrables sites du genre, puis on est tombées sur un site vraisemblablement français, on est tombées sur le cul, si on peut le dire. Plein de Creepypastas, des centaines et des centaines ! De quoi satisfaire plusieurs mois de lecture !

On étaient vraiment heureuses. Puis, en cherchant sur ce blog, on est tombées sur une creepypasta nommée "The Slenderman". N'ayant pas le français nécessaire pour traduire la page, on a recherchées nous-même sur des sites américains.

On croyait vraiment au Slenderman, cet homme immense, sans visage, qui vit dans la forêt. On a adorées l'histoire. Tellement qu'on en parlait tous les jours. Ça devenait notre raison de vivre, on ne pouvait s'empêcher de parler sans ouvrir un débat sur lui, ou d'y faire allusion.

Je crois qu'on y pensait trop, on devenait folle. Et puis y'avait cette fille, celle dont je vous avait parlée tout à l'heure. Qu'est-ce qu'elle nous faisait chier... c'était pas possible. Elle avait aucune amie, pas de sa faute, vous me direz.

Et vous avez partiellement raison. Mais est-ce qu'elle était obligée de se coller à nous ? On avait vraiment envie de lui en coller une à chaque fois qu'on la voyait arriver, avec son petit sourire niais... Alors on a parlées d'un truc avec Anissa.

Comme je vous l'ai déjà dit, on croyait vraiment au Slenderman, on pensait qu'il nous apprécierait si on faisait un petit quelque chose pour lui. Et puis ça rendrait heureuse l'autre folle. Alors on commençait à lui parler, une semaine avant de passer à l'acte.

Le pire c'est que je crois qu'à la fin de la semaine, j'avais pitié d'elle. En fait elle était moins stupide que ce que je pensais. Mais ma passion pour Slenderman ne faisait que grandir. Elle alors j'ai ignorée ce que je ressentais au final pour elle.

Donc Samedi Anissa a appelée chez elle, vu qu'on avait récupérer son numéro de téléphone pendant la semaine. Elle lui a demandée si elle pouvait venir en forêt pour faire un cache-cache. Elle est vraiment niaise, à 12 ans on ne joue plus à cache-cache, elle aurait dû se méfier de quelque chose...

Pourtant elle a acquiescer et 15 minutes plus tard elle était là. On lui a demandée de compter pendant qu'on allait se cacher, bien sûr, on lui a demandée de fermer les yeux. On a récitées en chuchotant les prières qu'on avait trouvées sur Internet afin d'invoquer Slenderman.

Ensuite j'ai sortis le couteau que j'avais pris sur moi avant de venir ici. J'ai foncée sur elle pendant qu'Anissa la maintenait à terre. C'est fou le temps qu'elle a compris qu'on l'attaquait. J'ai commencée par de petits coups au jambes, avant de remonter le long du corps, comme le voulait le rite.

Le sang qui coulait était, pour moi, une véritable jouissance. Pendant qu'elle criait, Anissa récit la prière, remplissant un verre de son sang. et le déposant sur un arbre, en gravant Slenderman. Et c'est là qu'on l'a vu apparaître, devant nous.

Il se nourrit du sang de ses victimes, les absorbant de ses tentacules, afin d'exterminer la moindre parcelle de bon sens dans l'esprit de ceux qui ont lu son histoire.
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Ce texte, fortement inspiré de l'histoire de deux américaines qui ont tentés d'assassiner leurs amie à la gloire de Slenderman. Aussi devrais-je dire Splenderman, et parler du magnifique fail d'M6, accusant le forum Creepypasta from the Crypt d'avoir fait connaître Slenderman à ces deux américaines, je précise que Creepypasta from the Crypt est certes en partenariat avec Creepypasta.com, mais il n'est que très peu probable qu'ils aient connu Slenderman sur CFTC. Bref, regarder la vidéo de Kyogariss qui parle du sujet avec humour.

Voici la vidéo de Kyogariss

Ah oui d'ailleurs, je tiens à préciser que la Creepypasta est de moi, même si elle est nulle.



dimanche 1 juin 2014

Mad Father

Bonjour à tous et bienvenue sur l'article concernant Mad Father.

I) Sypnosis

Au nord de l'Allemagne, (On nous dit pas où mais c'est dans le nord de l'Allemagne) on peut trouver la maison de la famille Drevis. Il y avait la mère, qui s'appelait Monika, le père, Alfred et leur fille, Aya. La mère d'Aya, Monika est décédée d'une maladie. Aya n'était pas là quand sa mère est morte.

Un an est passé depuis que Monika est morte, depuis ce jouer, le père d'Aya, Alfred, est toujours enfermé dans la cave, Aya sait qu'il ne faut pas le déranger quand il travaille.

Même jeune, Aya se doutait de ce que faisait son père derrière son dos. Ce qu'il faisait quand elle ne pouvait pas l'entendre. Elle entendait parfois des cris, des hurlements et autres atrocités venant de la cave de son père. Et comme si cela ne suffisait, elle voyait que son père était attiré par son assistante, Maria.

Une nuit, Aya se fit réveiller par les cris de son père, sortit de son lit et vérifia dans le couloir pour voir ce qui se passait. Elle vit 2 corps en états de décomposition, mais qui marchait, le regard vide (Des zombies si vous voulez) Elle comprit vite que c'était les victimes de son père, qui était revenus à la vie pour se venger de lui. Aya décida de sauver son père. Mais comme se balader dans sa maison est maintenant dangereux pour elle, plus elle avance dans la quête de retrouver son père, plus elle se rend compte qu'elle doit remettre en question l'amour pour un de ses parents. Mais... lequel ?

II) Gameplay


Comme ses prédécesseurs, Ib et The Witch House, même si c'est un RP, il n'y a pas de combat.

Aya doit se déplacer, résoudre les énigmes qu'ils lui sont proposés, se faufiler et fuir des griffes des morts-vivants.

Vous pouvez aussi retrouver des gemmes (21 au total) pour débloquer une fin supplémentaire, en sachant qu'il y'a trois fins différentes.

III) Personnages

Aya Drevis :

La fille de Monika et Alfred Drevis. Elle est très proche de ses parents, que ce soit son père ou sa mère. Sa dévotion influencera la fin du jeu.

Alfred Drevis :

Le père d'Aya et le mari de Monika. Il est connu dans toute sa ville pour les expériences qu'il effectue dans sa cave. Dans le passé, il est représenté comme quelqu'un de très attaché à sa fille. Toutefois, si le joueur décide de le sauver, il vous montrera d'une autre façon son amour...

Maria, l'assistante d'Alfred Drevis :

Elle était sans abris jusqu'à qu'un jour, Alfred Drevis l'a trouva dans la rue. Elle devait  aprioris servir d'expérience à Alfred. Il changea d'avis quand il vit qu'elle avait soignée une des victimes mourantes du docteur. Comme Aya, elle est VRAIMENT très proche du docteur, ce qui se révèlera peut-être dans l'histoire. Ni Aya ni Monika ne l'aime à cause de sa relation avec Alfred Drevis.

Monika Drevis :

La mère d'Aya et la femme d'Alfred. Le jeu commence avec un plan sur sa tombe (Comme c'est la joie). Elle a un passé sombre (même très sombre). Elle est aussi en partie responsable de la "disparition" d'Alfred.

Ogre :

Un homme mystérieux qui apparaît de temps en temps dans le jeu, c'est celui qui informe Aya de la malédiction qui plane sur sa famille. Il a aussi aidé Monika à placer la malédiction.

Dio :

Une des victimes du Dr.Mund... Drevis. C'est la seule victime qui aide Aya (Ou pas d'ailleurs) SPOILERS :

Dans la vraie fin il tue Alfred et brûle la maison d'Aya.

J'aurais pu vous mettre les fins, mais j'ai décidé de ne pas les mettre.


dimanche 26 janvier 2014

Creepypasta #3 : Valses avec les créatures de l'obscurité



L'obscurité, comme les abysses ou la mort, est un "territoire" pratiquement inconnu dont on ne sait ce qui s'y cache vraiment. De nombreuses légendes ont été racontées à des enfants "naïfs". Ils se sont posé des questions auxquelles la plupart des personnes seraient tentées de répondre par un: "NON!!" Et pourtant, des gens sont encore effrayés à l'idée de se retrouver dans l'obscurité la plus totale, et les questions de ces enfants "naïfs" ont persisté... 



Des yeux remplis de malice et d'horreur nous fixent-ils dans le noir? Des créatures, visqueuse et rampantes, évoluent-t-elles sous notre lit ? D'où vient ce bruit étrange qui résonne dans la maison?... Tant de questions... que j'ai voulu en savoir plus. J'ai voulu savoir ce qui se cachait dans ma chambre pendant que je dormais. Je suis resté près d'une heure dans le noir le plus complet. Je me suis posé des tas de questions durant cette expérience terrifiante.
Il est temps pour vous de me suivre dans ce voyage... une chanson de Metallica vous explique exactement ce que vous devez faire : 



"Exit light
Enter night
Take my hand
We're off to never never-land..."


J'ai donc fait l'expérience de rester immobile durant une heure dans le noir le plus complet, au milieu de mon lit, loin de toute sa chaleur et de la douce protection que celui-ci pouvait me procurer. 
J'étais donc assis sur mon lit, au milieu de ma chambre, pas une lumière ne filtrait à travers les volets et aucun bruit ne parvenait à mes oreilles. 


Et dans cette aveuglante obscurité, on en vient à décupler notre ouïe et à entendre le moindre petit bruit, jusqu'à percevoir ce que l'on croit être des bruits de pas mais qui n'est en réalité que le battement du sang dans nos tympans. Nos oreilles bourdonnent inlassablement avant de se calmer.
Bientôt une voiture passe et ses phares éclairent furtivement l'intérieur de la chambre. Produisant un flash lumineux qui dessine alors sur les murs glacés des ombres distordues ou humanoïdes, celles-ci  figées comme des vautours attendant de fondre sur une proie. Ce moment n'a duré qu'une seconde et pourtant notre paranoïa a déjà pris le dessus sur notre raison. 


Les yeux commencent à fatiguer et rapidement ceux-ci partent dans un certain délire visuel. D'un côté ma vue périphérique semble voir des ombres bouger rapidement, alors que ma vision de face aperçoit un flash lumineux. Je veux crier de surprise, de peur, mais je me retiens, finalement il n'y a pas de quoi paniquer.
Puis à nouveau j'entends des bruits de grincements, des couinements comme ceux de la porte de ma chambre. Je me mets en position fœtale, je ferme les yeux... mon coeur bat de plus en plus vite, je n'ose plus avaler de salive, comme si ce geste banal allait déchaîner "la créature" qui entrait dans ma chambre. Je me décide à ouvrir un œil... une lumière! ... Une voiture. J'ouvre les deux yeux. Plus rien.


Finalement toujours au milieu de mon lit sans sa douce protection, alors que je parvenais à me calmer, je me retrouvais ceint par la douce étreinte de l'obscurité. Et c'est dans ces moments-là que l'on a l'impression qu'une meute de créatures sanguinaires va se jeter sur nous, les moindres bruits deviennent des créatures monstrueuses et chaque grattement, chaque petit picotement sur notre peau devient les griffes d'une créature dont les mains serpentent sur notre jambe ou agrippent notre bras. Et c'est là que les sueurs froides commencent à couler par tous les pores de notre peau. 
Et puis finalement je me décidai à allumer ma lampe de chevet... et il n'y avait rien... à moins que ces créatures, fussent-elles à ce point dangereuses, aient été détruites par cette lumière transperçante? 







Je soufflai. Non, il n'y avait rien dans ma chambre, rien d'autre que mon reflet souriant dans le miroir en face de mon lit...

Source : http://creepypastafromthecrypt.blogspot.fr

(Libellé demain)

2014 pour Blood

Hey tout le monde et bonne année (Oui on est le 25 Janvier) ! Alors on va tout de suite rentrer dans le vif du sujet :

I) Analyse de jeu d'horreur

Bien évidemment, cette année sera riche en analyse (elle restera maître sur ce blog), avec au programme

ATTENTION MOTHERFUCKING SPOILER FROM THE HELL : 

Outlast, Calm Time, Within Deep Sorrow par exemple.

II) Creepypastas

Vous l'avez vu, j'ai posté deux creepypastas l'an dernier (Hi hi que je suis drôle.) Et je souhaites continuer sur cette voie. Donc pour une analyse de jeu vous aurez deux creepypastas.

III) Blood et son avenir

Je souhaite créer un forum (Alors oui je sais je m'emballe) mais pourquoi pas ? Je m'attends pas à un succès phénoménal. Mais réfléchissez : Creepypasta From The Crypt a un forum. les Bribes Perdues avait un forum. (R.I.P). Alors pourquoi pas ? Je vous mettrais un lien quand il sera "prêt".

IV) Moi

Alors oui je sais vous vous en branlez de moi mais j'ouvre un blog sur LoL (League of Legends) donc je vous mettrais (aussi) un lien quand il sera fait ;) (Le blog sur LoL est déjà fait et contient à l'heure actuelle 13 articles mais ce n'est pas pour autant que j'arrête Blood, je suis entrain de finaliser un article sur un jeu. Le lien de League of Fail :

 League of Fail TMTC LE SWAG )

Allez bonne soirée/journée :D

mardi 31 décembre 2013

Creepypasta #2 : La purification

J'allai pas vous laisser pendant 1 an sans lecture (Bon ok je sors...) donc je vous propose la deuxième creepypasta du blog, BEAUCOUP plus gore que la première (certaines personnes disent que c'est la creepypasta la plus gore qu'ils aient jamais lu) donc je vous propose, pour votre réveillon, je vous propose, en plus de l'analyse de Vapour, cette deuxième creepypasta !

Constamment... Constamment... Le son strident de sa voix pèse dans mon esprit. La seule chose qui fait taire ce bruit est le sang.


Mon nom est Roger. Roger Gail. Je suis un professeur de physique-chimie en lycée. J'avais une profonde relation avec ma mère. C'était une salope. Une femme horrible. Elle me «purifiait» chaque jour en rentrant de l'école.


Je n'étais pas autorisé à faire des activités extra-scolaires. Elle étaient impures. Je n'étais pas autorisé à avoir des amis. Ils étaient impurs. Chaque partie de ma putain de vie était impure. Je n'étais jamais assez bon pour ma mère. Mais Mère me protégeait du monde. Le monde était sale... Oui... Sale. Les sentiments sales et impurs que je ressent en étant allongé sur mon lit. Je n'avais besoin du contact de personne. La seule chose dont j'avais besoin était Mère. Oui. Mère. Quand je ressens ces sentiments, ces sentiments spéciaux, je pense à Mère, et je suis apaisé. A chaque goutte de sang versée, un plaisir immense et indescriptible.


Chaque jour en rentrant de l'école, je l'entendais dire «Roger! Tu as été un sale garnement aujourd'hui. Il est temps de prendre un bain!». Un bain. Quel horrible mot. Mère me faisait toujours m'asseoir dans la baignoire et versait de l'eau de javel sur ma peau nue... Elle commençait par frotter ma peau avec de la laine de fer et de l'eau de javel, et après, je le faisais moi-même après un moment. J'étais sale, et j'avais besoin d'être purifié. «Ne t'en fais pas, mon fils. Ca ne fera pas mal.» Elle disait ça à chaque fois. Juste avant de frotter mon visage. La douleur cuisante me brûlait les yeux. Mais ce n'était pas grave. La douleur était bonne. La douleur était propre. La douleur était toujours suivi du plaisir. Mère frottait chaque centimètre de mon corps jusqu'à ce qu'elle atteignait... Mon centre. Mon centre picotait alors qu'elle le caressait de ses doigts fins et pâles. Ca m'était égal. C'était ma récompense pour être propre.


Ma vie à l'école était comme celle de tous les autres enfants. Personne n'a jamais vu à quel point j'étais un gosse complètement taré. Mère ne m'a jamais amené à l'école de peur d'être salie, alors je marchais jusqu'à l'école. Le chemin que je prenais passait par la forêt qui était près de chez moi. Sombre, silencieuse, un sourd sentiment de danger et de vengeance tant désirée qui flottait dans l'air de cette forée. J'adorais cette tension. Ca me faisait bander comme pas possible. Je m'en foutais si j'étais en retard à l'école. Personne ne m'aimait. J'aurais pu crever que tout le monde s'en foutrait! Non... Non... Mère m'aimait. C'est pour cela qu'elle me purifiait. Chaque jour. La purification.


Chaque jour, j'attendais la purification avec impatience. Quand j'avais 17 ans, je suis rentré à l'école, une fois, impatient pour la douleur et le plaisir d'être pur. «Mère, je suis rentré...» Pas de réponse. Alors que je marchais dans le couloir jusqu'à ma chambre, j'ai entendu des bruits étranges. Des bruits forts, sourds. Le bruit venait de la chambre de Mère. Je n'avais jamais entendu ce genre de bruit.


«Mère... Allez-vous bien?» j'ai demandé, en entrant dans la pièce. Est-ce que Mère était saine et sauve? Allait-elle bien? Quelqu'un était-il en train de la blesser? Qu-que-est ce qu'il se passait? Pourquoi le corps de cet homme percutait celui de Mère? Qui était cet homme?! Quels étaient ces bruits provenant de Mère?! Oh mon dieu, ces bruits. Il fallait qu'ils s'arrêtent! Il fallait que je les arrête!


Je les ai fait s'arrêter. Au dessus de la penderie de Mère se trouvait un grand crucifix métallique, avec bout pointu. Mère était incroyablement religieuse. Cette salope débile aurait cru n'importe quoi. J'ai enlevé le crucifix du mur et couru vers l'homme, le bout pointu en avant. Avant que l'homme eut même le temps de crier, ou de geindre, je l'ai violemment battu avec. Je l'ai frappé, et frappé, le sang et bientôt des bouts de cerveau giclèrent sur mon corps, sur les murs, sur Mère. Cette conne criait comme un cochon qu'on égorge, terrorisée. Ca m'était égal. En guise d'apothéose, j'ai pris ce qui restait ce qui restait du crucifix, la statue de Jésus étant tombé, et j'ai enfoncé la croix dans l'orbite de cet homme.


«Roger! C'est quoi ton problème, bordel?»


Mère... Oh Mère. Elle aurait le même destin, éventuellement. Mais l'homme respirait toujours. Toujours un fragment d'espoir que sa vie fragile, sale puisse survivre. Non. Je me suis assuré que sa vie sale ne verrait plus jamais la lumière du jour.


Je l'ai pris par un membre et j'ai traîné son corps désarticulé dans les escaliers. Chaque coup sur les marches en bois ouvraient le crâne de ce connard un peu plus. Le sang coulaient comme de l'eau dans les égouts en bas des escaliers. J'ai jeté le corps dans les escaliers. Un long mumure de douleur échappa au corps distordu et enflé à mes pieds.


«La ferme, fils de pute! Comment ose-tu souiller Mère?» Je l'ai soulevé par ses cheveux gras et pleins de sang, puis j'ai cogné sa tête contre la table, enfonçant le crucifix plus profond dans son cerveau. Le bruit «squish», l'entrée fluide et douce, je n'ai pu m'empêcher de crier de plaisir. J'ai senti mon centre palpiter. Il fallait que je finisse. Je ne pouvais pas m'arrêter maintenant. J'ai grogné en ouvrant la porte du réfrigérateur, mis la tête de ce connard dans les étagères du frigo et j'ai percuté violemment la tête de cet homme avec la porte, comme il avait percuté Mère. Il ne la percuterait plus. Personne ne le ferait. Du sang coula encore sur le sol et je sentis le plaisir que je désirais. Ce sentiment intense de passion était presque trop pour moi.


Je suis tombé au sol. La palpitation de mon corps s'arrêta. Mais ce massacre sale, plein de morceau humains, était toujours là. Il fallait nettoyer. J'ai pris le corps et je l'ai jeté dans la chute à linge. Mmh... Le corps ne rentre pas.


Son énorme verge était ce qui avait causé tout cela, et j'allais l'en sortir. J'ai sorti mon couteau suisse militaire et j'ai commencé à couper son membre. Le bruit que mon couteau a fait en entrant et le profond tranchage m'ont fait trembler de plaisir. Une fois fini, son corps a glissé dans la chute. J'ai calmement descendu les escaliers, les mains tremblantes, et j'ai mis le corps dans le sèche-linge, puis je l'ai allumé. Une fois que le corps désarticulé tournait, je suis retourné voir Mère.


«Mère, il est temps pour mon bain.»


Oh, Mère, si naïve. Alors que je me déshabillais pour mon bain, j'ai remarqué que ses mains tremblaient alors qu'elle préparait le bain. Elle a frotté mon corps, mettant la chair à nu, frotté plus, fort, encore plus fort. J'ai fermé mes yeux, rêvant du sang, du métal tranchant mes mains.


«Voilà, mon fils. C'est terminé.»

QUOI?! CETTE PUTE N'EN AVAIT PAS TERMINE AVEC MOI! NON! COMMENT OSAIT-ELLE?! Non! Non... Non... Je ressentirais du plaisir, d'une façon ou d'une autre.


J'ai pris sa tête par les cheveux et je l'ai cognée contre le côté de la baignoire. Mes bras tendus tremblaient. Du sang et des dents étaient dispersés sur le sol bleu ciel.


«Sale pute impure. Tu ne vas pas me traiter ainsi. J'aurais ce que je veux.» J'ai couru en bas des escaliers, nu et mouillé, fouillé un tiroir de la cuisine et trouvé des tenailles, que j'ai prises. Je me suis senti léger comme l'air alors que je suis remonté dans la salle de bain. En entrant dans la pièce, j'ai vu le sang, les dents, et senti l'anticipation. J'étais prêt pour ça. C'est moi qui aurait les rennes, maintenant.


J'ai pris la tête Mère, inconscience, et je l'ai mise sur mes genoux. Le contact de ses cheveux grisonnants et doux sur mes parties génitales palpitantes. J'en voulais plus. PLUS! J'ai enfoncé les tenailles dans la bouche de Mère et j'ai commencé à enlever ses dents.


Le son de ses dents se détachant de ses vieilles gencives pourrissantes. Le sang mélangé à la salive dégoulinant de sa bouche. Sa bouche était comme une caverne vide, une caverne chaude, humide, et plaisante. Je tenais la tête de Mère tendrement quand j'ai décidé de glisser sa bouche sur mon phallus palpitant. Oh, le plaisir. La chaleur. Le sang. Ugh, tout ce sang. Oui. Oui. J'ai senti mon corps perdre le contrôle lorsque je me suis enfoncé plus fort et plus profond dans sa bouche.


J'ai senti l'arrière de sa gorge se fermer autour de moi. NON! Je devais aller plus loin. J'ai sorti mon phallus gluant et frémissant de la bouche de Mère et y ai mis la tenaille à la place. Je l'ai enfoncé, donné des coups, pénétré. Une fois que j'ai senti la colonne vertébrale, j'ai ouvert les tenailles, puis je les ai fermé autour de l'os, et j'ai tiré de toutes mes forces. Le craquements de l'os, le son de corde pincée de la colonne se cassant, le corps de Mère qui a tressailli. Je l'ai jetée par terre, me suis mis au dessus de sa bouche, et y ait enfoncé mon pénis, fort, plus fort, encore plus fort!!! Uuughhhhh! Je me suis affaissé sur le sol, du sperme sortant de mon membre descendant. Le sang m'entourant était comme une couverture de confort. Je posai ma tête sur la poitrine de Mère, et m'y endormis...